Documentations

Le Rapport d’IRENA, International Renewable Energy Agency, est un guide pratique qui présente les différentes solutions de stockage d’énergie disponibles ainsi que leurs applications dans le cadre des pays insulaires. Ce rapport fait partie de l’Initiative Internationale pour les énergies renouvelables et contribue à l’initiative des Nations Unies pour un développement durable pour tous.

En effet, dans les régions éloignées et les pays insulaires, le système de stockage de l’énergie renouvelable permet de répondre à la demande en électricité toujours très variée. Comprendre le rôle et l’utilisation du système de stockage est donc essentiel d’autant plus qu’il n’existe pas de système unique. Les technologies de stockage de l'électricité varient considérablement en termes de conception, de maturité technologique et de coût. Ce rapport aidera les planificateurs, les exploitants et les gestionnaires de réseau d'électricité à mieux comprendre le rôle que le stockage peut et devrait jouer dans leur système d'électricité.

Le marché mondial des petites éoliennes devrait plus que doubler entre 2010 et 2015, pour atteindre 634 millions de dollars. Un marché en expansion constante qui offre de réelles opportunités pour l’avenir.

En effet, les petites et moyennes éoliennes (SMWT) ne sont pas seulement respectueuses de l'environnement, elles offrent également une solution très avantageuse et compétitive pour les applications hors réseau dans les zones rurales. Les petits vents peuvent également être combinés facilement dans les systèmes hybrides avec l'énergie solaire ou diesel, créant encore plus de possibilités. Le prix des sources d'énergie conventionnelles, en particulier les combustibles fossiles, est en constante augmentation, alors que les coûts des petits vents diminuent graduellement, ce qui souligne l'attrait de ces technologies.

Avec une compétitivité et une rentabilité rapides des coûts, l’utilisation de l’énergie éolienne est une solution parfaite non seulement pour générer suffisamment de puissance pour nourrir et développer les petites entreprises, mais aussi pour augmenter les synergies avec des secteurs en croissance comme les télécommunications.

L'IRENA, l’agence internationale des énergies renouvelables, encourage l'adoption généralisée et l'utilisation durable de toutes les formes d'énergies renouvelables, y compris la bioénergie, l'énergie géothermique, hydroélectrique, océanique, solaire et éolienne pour le développement durable, l'accès à l'énergie, la sécurité énergétique et la prospérité économique.

Au travers de cette étude, l’IRENA vise à améliorer la compréhension et à évaluer les besoins et les lacunes en matière de normalisation des technologies d’énergies renouvelables, en mettant l’accent sur la normalisation internationale.

La normalisation des technologies d’énergies renouvelables passe par la diffusion des informations sur les technologies de pointe, par l’uniformisation des règles du jeu pour les produits innovants, et passe par des efforts mieux ciblés en termes de R&D.

Grâce à cela, certains secteurs économiques ont connu une nouvelle dynamique (coûts de production décroissants, réduction des coûts de transactions grâce à des ententes contractuelles simplifiées, utilisation de composants normalisés, etc.) Ces facteurs ont accru la confiance des consommateurs dans les technologies d’énergies renouvelables. Néanmoins, lorsqu’elle est mal conçue, la normalisation/standardisation peut inhiber les solutions innovantes, créer des contraintes administratives et augmenter les coûts.

Le rapport montre ainsi, aux décideurs comment le processus de normalisation peut être un moyen efficace pour développer leur secteur d’activité, et donne également des recommandations, telles que la mise en place de mécanismes susceptibles de faciliter un cadre stratégique de normalisation des énergies renouvelables ou bien,  l’engagement des pays en développement dans des programmes susceptibles de soutenir leur participation au processus international de normalisation des technologies d’énergies renouvelables.

Le message clef de ce rapport est qu’il est crucial d’assurer une voie stratégique dans la normalisation des technologies d’énergies renouvelables, en tenant compte des exigences et des priorités de toutes les parties prenantes impliquées.

L’Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie (ADEME) propose différents outils à destination des enseignants, animateurs de centres de loisirs et associations pour sensibiliser leur public aux thématiques et enjeux du développement durable.

Ainsi, des mobiles pédagogiques, des expositions et des ressources en ligne pour tous les niveaux, c’est-à-dire, du primaire jusqu’à l’enseignement professionnel, sont disponibles gratuitement et adaptés à chacun. Les références des différents sites sont dans le rapport.

Lutter pour préserver l’environnement, commence par des gestes simples au quotidien pour maitriser sa consommation d’énergie à la maison. Eteindre la lumière en quittant une pièce, installer un chauffe-eau solaire ou bien privilégier les ampoules à basse consommation, sont des réflexes simples qui permettent de participer, à son niveau, à la préservation de l’environnement, de son environnement et de sensibiliser son entourage à cet enjeu qui nous concerne tous.

Des preuves de plus en plus nombreuses de l'impact négatif sur la santé de l'utilisation de produits d'éclairage à base de carburant plaident en faveur de solutions de remplacement plus propres. Le United Nations Environment Programme (UNEP) fournit dans ce rapport des conseils stratégiques aux décideurs gouvernementaux et aux régulateurs pour développer l'accès à un éclairage efficace et réduire l'impact environnemental de l'éclairage au carburant.

En Afrique, une grande partie des ménages n'a toujours pas accès aux services électriques. Dans de nombreux pays, l'électrification des ménages par l'expansion du réseau électrique ne parvient pas à suivre le rythme de la croissance démographique. Il existe cependant des preuves tangibles des avantages considérables de l'accès à l'électricité, à l'éclairage et à d'autres sources d'électricité, sur des aspects sociaux tels que la durée du travail, l'éducation, la sécurité et l'accès à l'information.

Pourtant, peu de pays ont établi un cadre politique intégré pour réduire la dépendance aux combustibles fossiles pour l'éclairage et accélérer la pénétration de produits d'éclairage hors réseau efficaces, garantissant ainsi des avantages significatifs pour la santé et la sécurité, la réduction des émissions de carbone et la création  d'emplois verts.

Aujourd’hui, la part de la demande d’énergie commerciale des bâtiments représente 30% de la consommation totale d’électricité en Afrique de l’Ouest. Ainsi, l’amélioration de l’efficacité des bâtiments peut constituer une réelle source d’économie d’énergie dans les pays en développement. En adoptant des techniques d’utilisation et de contrôle adaptées, les immeubles du secteurs tertiaires pourraient réaliser des économies de l’ordre de 10 à 15% par.

Cette fiche explique les différentes étapes pour réaliser un diagnostic énergétique, une première étape essentielle vers l’efficacité énergétique.

Les technologies d’énergie renouvelable sont en pleine expansion et leur potentiel ne cesse de croître. En Afrique, ces technologies représentent une part importante de l’approvisionnement total en électricité. C’est donc un enjeu majeur pour les gouvernements, mais ils ont souvent eu du mal à produire des mesures qui suivent la progression de l’énergie renouvelable et ses répercussions sur le reste du système électrique.

L'intervention publique en faveur des énergies renouvelables est interprétée comme la correction d'une défaillance du marché pour tenir compte des externalités. Ainsi, de nombreux régimes de soutien, qu’ils soient axés sur les prix, ou bien axés sur le volume, sont mis en place pour soutenir le développement des technologies d’énergie renouvelable.

L'efficacité énergétique est considérée comme la meilleure stratégie pour améliorer la compétitivité de l'industrie, en réduisant les coûts énergétiques et en stimulant la croissance économique et la création d'emplois grâce aux investissements générés. L’efficacité énergétique permet également dans les pays où les ménages utilisent beaucoup le chauffage, de réduire pour les consommateurs à faible revenus et à terme, à réduire la pauvreté.

Ainsi, l’amélioration de l’efficacité énergétique permet de fournir l'accès à l'électricité à plus de personnes, ce qui constitue le principal défi dans de nombreux pays en développement, et permet également une réduction de l'impact de la volatilité du pétrole sur la balance commerciale et sur le budget national, lorsque les prix sont subventionnés.

L’amélioration de l’efficacité énergétique est un défi de taille pour les pays en développement, mais c’est un enjeu essentiel.

L’objectif de la politique d’efficacité énergétique est de réaliser des économies d'énergie significatives grâce à une part de marché accrue et soutenue de produits et de systèmes économes en énergie. Pour se faire, différentes actions sont mises en œuvre. Ces actions sont dites prescriptives car elles ne nécessitent pas beaucoup d'efforts ou d'études pour être déployées et permettent de capturer les fruits des économies d'énergie.

Ce rapport définit les différentes actions à mettre en place pour atteindre les objectifs de cette politique.

« Meilleur pour l’environnement, moins couteux pour vous et efficace partout » : trois avantages à bien choisir son éclairage. Ce guide vous montre comment en modifiant votre comportement, vous pouvez changer votre consommation d'énergie au quotidien.

Les conséquences du changement climatique impactent notre vie et notre planète. Toutefois, il est nécessaire aujourd’hui, de passer du constat à l’action. Ce guide vous permet de comprendre comment peut-on continuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre, et surtout comment vivre avec un climat qui évolue.

Ainsi pour supporter ces changements, il est essentiel de  les anticiper et de les limiter, étant donné que selon le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), la probabilité de l’impact de l’homme sur le réchauffement climatique est de 95%, soit l’homme est presque entièrement responsable de ce phénomène.

À titre d’exemple, en France, le secteur des transports est le premier émetteur de gaz à effet de serre (28%), suivi par le secteur agricole (20%) et le secteur habitat et tertiaire (20%). Agir dans ces domaines est donc prioritaire.

Il est important de s’adapter à un climat en mutation, de modifier nos modes de vie pour réinventer des pratiques adaptées. Des mesures modestes mais efficaces permettent d’anticiper et de supporter des conséquences du changement climatique. Par exemple, lors de périodes de chaleurs estivales, il faut apprendre à s’en protéger sans abuser de la climatisation. Pour cela, la réalisation de travaux d’isolation ou d’installation de stores extérieurs, de auvents, de plantations, peuvent être des solutions.

Informer et éduquer sont les missions que l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie), car pour s’adapter à une situation, il est nécessaire de bien la connaitre.

L’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie) présente dans ce guide « 40 trucs & astuces » pour économiser l’eau et l’énergie chez soi. Partant du constat qu’un ménage français consacre, en moyenne et par an, 6,2% de ses ressources pour se chauffer, se déplacer, et s’éclairer, soit 3207 euros de dépenses par foyer et par an, acquérir des réflexes pour contrôler sa consommation est primordiale.

Utiliser un minuteur pour ne pas dépasser les 5 minutes sous la douche, ou bien, une multiprise à interrupteur qui peut diminuer votre facture d’électricité de 10%, sont des astuces accessibles financièrement et faciles à mettre en place, et dont les impacts sur la consommation en énergie et en eau peuvent être conséquents.

Ce guide vous montre donc que de simples gestes quotidiens peuvent contribuer à la diminution de votre consommation en eau et énergie. C’est ainsi, qu’en diminuant le chauffage de 20°C à 19°C, c’est une baisse de 7% de consommation énergétique qui s’opère, tout comme, couvrir les casseroles pendant la cuisine, c’est 4 fois moins d’électricité ou de gaz consommés.

L’énergie éolienne est aujourd’hui en pleine expansion. Cette énergie offre de nombreux avantages en étant une énergie renouvelable non polluante, en utilisant les ressources nationales et en concourant à l’indépendance énergétique. Toutefois, elle présente également des inconvénients tels que l’aménagement du territoire, ainsi que la gestion technique de la production sur les réseaux électriques.

Pour autant, avec la prédominance de l’énergie nucléaire et des combustibles fossiles pour produire l’électricité́, le recours aux énergies renouvelables permet de diversifier le bouquet énergétique.

En effet, ne pas dépendre d’une seule énergie pour la production électrique est un facteur de sécurité́ qui permet de réguler au mieux la production en fonction des caractéristiques des énergies utilisées et de la consommation.

Par conséquent, l’utilisation de l’énergie éolienne offre de réelles perspectives d’avenir, d’autant plus, que l’éolien maritime, qui n’est pas encore disponible en France, offre des opportunités futures importantes, Plus encore, sa mise en place en France est indispensable pour atteindre l’objectif fixé par le Grenelle Environnement d’utilisation des énergies renouvelables.

Dans ce dossier, vous trouverez toutes les solutions pour un logement économe et facile à vivre. Les ménages consomment près de la moitié de l’énergie produite en France pour leurs besoins domestiques. En modifiant son comportement ou ses choix d’investissements, chacun d’entre nous possède une vraie marge de manœuvre pour réduire sa consommation d’énergie : faire sécher le linge à l’air libre, entretenir sa chaudière, une bonne ventilation pour chasser l’humidité et les polluants, ne pas fumer dans sa maison, etc. Ces gestes simples, qui ne demandent aucunes dépenses financières, sont à la portée de chacun.

 Apprendre les bons gestes du quotidien, devenir un « éco-citoyen » est essentiel pour vivre dans un logement sain et agréable.

Comment concilier respect de l’environnement, fraicheur dans le logement et sobriété́ énergétique ? Il existe des solutions durables et efficaces, mais ce sont des solutions qui se préparent à l’avance. Agir rapidement en réaction à une situation exceptionnelle entraine souvent des coûts élevés et des usages mal adaptés.

Dès la construction d’une habitation, des réflexes sont utiles pour préserver de la chaleur :  tenir compte de la situation géographique, de la topographie, et soigner la conception de l’habitant sont essentiels. Toutefois, avec des habitations déjà existantes, il est également possible d’agir. Choisir des volets de couleurs claires qui réfléchissent la lumière et la chaleur, limiter les apports de chaleurs en choisissant des appareils économes, baisser les volets la journée, arrosez la terrasse et les plantes le soir pour créer de la fraicheur, etc.

Des astuces pratiques et faciles existent pour le bien de tous. Pour aller plus loin, le site Topten permet aux consommateurs de trouver rapidement et facile- ment des informations sur les meilleurs produits et services pour la maison et le bureau.

L’Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie (ADEME) vous présente un dossier regroupant les grandes questions liées à l’Environnement. Il est parfois nécessaire de revenir aux définitions de bases pour mieux comprendre les grands enjeux auxquels le XXIe siècle fait face. Qu’est-ce que le réchauffement climatique ?  Qu’est-ce que cela va provoquer ? Comment va-t-on faire pour s’adapter aux changements ? autant de questions anodines qui sont pourtant parfois laissées sans réponses. L’ADEME y répond pour vous !

Grâce à des équipements robustes et fiables, les modules photovoltaïques vous permettent de produire de l’électricité, que vous pouvez utiliser pour vos besoins ou vendre à un distributeur d’énergie.

La production de l’énergie solaire concilie des préoccupations écologiques et globales et des considérations pratiques et individuelles. Elle participe à l’objectif fixé par le Grenelle Environnement de 23% de notre consommation énergétique devant provenir de ressources renouvelables en 2020. En parcourant ce guide, vous pourrez vous informer sur les techniques à votre disposition, les solutions appropriées à votre situation, les aides disponibles, les démarches à entreprendre, etc. pour mener à bien un projet photovoltaïque.

La consommation d’électricité pour les petits appareils électroménagers a doublé en 20 ans. Notre consommation ne cesse donc d’augmenter malgré l’augmentation de l’efficacité énergétique de nos appareils. Toutefois, se soucier de l’efficacité́ énergétique de nos appareils électroménagers, c’est bien. Mais définir les équipements dont nous avons réellement besoin et bien les utiliser est également important. Pour cela, privilégier les équipements bien placés sur l’étiquette énergie, acheter un lave-linge d’une capacité correspondante à vos besoins, utiliser des plaques de cuisson par induction plutôt que des plaques vitrocéramiques, ne pas recharger la batterie d’un téléphone au-delà de ce qui est nécessaire, etc.

Ce dossier passe en revue l’ensemble des appareils gourmands en énergie, et vous donne des astuces pour en économiser.

Dossier pédagogique de l’a.s.b.l. Environnement & Découvertes avec le soutien de la Division Energie du Ministère de la Région Wallonne.

L’exposition «  L’Energie est entre nos mains » a pour objectif de sensibiliser les enfants  dès l’âge de 8 ans, aux enjeux environnementaux et leurs impacts sur notre santé. Cette exposition vise également à susciter la discussion et l'envie de rechercher des informations supplémentaires ainsi qu’à susciter des changements de comportements permettant des économies d'argent et d’éviter les dangers pour la santé et l'environnement.

Le dossier incite également à réaliser des activités chez soi pour mieux appréhender et comprendre les différentes sources d’énergie.

Ce dossier permet donc de familiariser les enfants à la thématique climatique, et aux parents de réviser l’essentiel du sujet.

La Commission mondiale sur l'économie et le climat, et son projet phare, The New Climate Economy, ont été mis en place pour aider les gouvernements, les entreprises et la société à prendre des décisions plus éclairées sur la prospérité économique et le développement.

La Commission est partie du simple constat qu’aujourd’hui, chacun souhaite vivre sainement et confortablement, et les différents gouvernements souhaitent assurer à leur population  un cadre de vie propice à l’amélioration de leur quotidien. Ainsi, ils doivent faire face au grand défi qu’est le changement climatique.

L’objectif de ce rapport est d’expliquer qu’en façonnant les grands processus de changement structurel et technologique qui se produisent actuellement dans l'économie mondiale, nous pouvons créer une croissance économique durable tout en s'attaquant aux immenses risques du changement climatique.

Presque tous les pays sont aujourd'hui confrontés à des problèmes économiques difficiles. Le changement climatique est un défi sans précédent qui confronte le monde dans son ensemble. Le plan d'action global en 10 points que propose ce rapport peut aider à catalyser l'action pour parvenir à la fois à une meilleure croissance et à un meilleur climat. Il propose des mesures pratiques qui peuvent être prises non seulement par les gouvernements nationaux, mais aussi par les villes et les autorités régionales, les entreprises, les communautés et les organisations internationales.

Notre système climatique, tel qu’il existe aujourd’hui, dominé par les énergies fossiles, laisse un héritage insoutenable pour les générations futures.

Un monde 100% renouvelable signifierait une réduction rapide du coût des technologies d'énergie renouvelable, une prise de conscience croissante de la nature finie des combustibles fossiles tels que le charbon, le gaz naturel, le pétrole ainsi que des ressources minérales telles que l'uranium.

La question qui se pose aujourd’hui est de savoir si nous souhaitons réaliser une transition entre les énergies fossiles et les énergies renouvelables, afin de maximiser nos chances de transmettre un monde en meilleur état pour les générations futures, ou bien, souhaitons-nous continuer à subir les chocs économiques et sociaux que la hausse des prix et la volatilité du marché vont créer ?

Aujourd’hui, certaines juridictions se lancent dans une restructuration de leur système énergétique et démontrent qu'un nouveau paradigme énergétique est possible, et que la transition vers une société renouvelable peut être positive d'un point de vue économique, social et environnemental.

Il devient de plus en plus nécessaire de fournir aux décideurs des exemples concrets à la fois comme source d'inspiration et source de connaissances sur les types de technologies, sociaux, culturels et économiques ainsi que les transformations financières nécessaires à une transition aussi profonde.

Ce rapport explique donc comment et pourquoi un système énergétique 100% est possible. Comme un signe de la reconnaissance croissante de ce potentiel, un article important publié dans Scientific American en 2009 a suggéré que le soleil, le vent et la pluie pourraient alimenter les besoins énergétiques du monde entier.

Pour l’Afrique, la voie vers la croissance économique ne pourra se faire sans le développement de l’utilisation de l’énergie renouvelable. Cet article de l’Alliance for Rural Electrification traite de la nécessité d'un accès énergétique fiable pour les entreprises afin de permettre l'utilisation productive des énergies propres. Le rapport prend exemple sur neuf pays d’Afrique pour montrer les moyens prometteurs qu’un engagement vers une économie verte peut offrir.

En effet, l’électrification rurale est la clef du développement socio-économique des pays africains, car il existe une forte corrélation entre l’accès à l’énergie et la croissance économique.

Ainsi, le programme «  d’utilisation productive d’énergie renouvelable » regroupe un ensemble d’activité agricole, commerciale et industrielle, qui permet d’augmenter la productivité rurale ainsi que l’emploi rural.

L’Institut de l’Energie des pays ayant en commun l’usage du français, créé en 1987, a pour objectif d’assurer une collaboration technique entre les pays membres et de contribuer à l’approfondissement et au renforcement de la culture francophone. L’institut forme, informe, recherche, et crée des réseaux pour aider et renforcer le rayonnement francophone dans le domaine énergétique.

Ce document propose une méthodologie de travail simple et complète qui a pour but de guider le conseiller technique dans la réalisation d’un diagnostic. Toutefois, même si le diagnostic énergétique est une action ponctuelle, un programme de gestion de l’énergie est en revanche un processus continu qui s’intègre dans l’entretien régulier et l’exploitation du bâtiment.

En Afrique de l’Ouest, le taux global d’accès aux services énergétiques moderne est très faible, ce qui entrave les perspectives de développement des activités économiques, de fourniture de services sociaux de base et de lutte contre la pauvreté. Malgré l’importance des ressources en énergie renouvelable de la région, l’Afrique de l’Ouest reste confrontée à de nombreux défis.

Le Projet régional sur la promotion de la coordination, de la cohérence, de l'intégration et de la gestion des connaissances regroupe 16 Etats africains. Ce projet a pour objectif de renforcer la coordination et la cohérence entre les projets énergétiques nationaux. Le projet régional vise à créer un environnement politique et institutionnel propice à la promotion des énergies renouvelables et des technologies et marchés économes en énergie dans la région de l'Afrique de l'Ouest.

Le rapport SADC, The Southern African Development Community,  sur l'énergie renouvelable et l'efficacité énergétique soutient les efforts de la SADC pour accroître le déploiement des énergies renouvelables et l'efficacité énergétique en Afrique australe en fournissant un examen régional complet des développements en matière d'énergie renouvelable et d'efficacité énergétique.

Dans le secteur de l'énergie, la SADC s'est concentrée sur deux domaines: améliorer l'accès aux services énergétiques modernes pour les populations hors réseau et accroître la sécurité et la stabilité de l'approvisionnement énergétique en général.

Un enjeu de taille pour une population sub-saharienne de plusieurs millions d’habitants !

De nombreux pays développent ou envisagent activement de développer leur potentiel de ressources énergétiques renouvelables.

En effet, les énergies renouvelables améliorent potentiellement la sécurité énergétique en réduisant la dépendance aux combustibles importés et aident à diversifier le mix énergétique. Or, les gouvernements ont souvent eu du mal à produire des mesures politiques qui suivent la progression de l'énergie renouvelable et ses répercussions sur le reste du système d'électricité. La non-intégration des générations futures dans le processus de marché conduit à une surconsommation de ressources naturelles.

De nombreux instruments ont été mis en place pour soutenir le développement durable, mais le chemin reste encore long.

L'Afrique subsaharienne est riche en ressources énergétiques, mais très pauvre en approvisionnement en  énergie. En effet, la région représente 13% de la population mondiale mais seulement 4% de sa demande énergétique.

De nombreux gouvernements intensifient actuellement leurs efforts pour s'attaquer aux nombreux obstacles réglementaires et politiques qui freinent les investissements dans l'approvisionnement énergétique national, mais une infrastructure énergétique inadéquate risque de freiner les améliorations du niveau de vie qui s'imposent de toute urgence.

Ce rapport met en évidence la pénurie aiguë de services énergétiques modernes dans de nombreux pays. La situation varie considérablement d'une région à l'autre, mais dans l'ensemble de l'Afrique subsaharienne, seuls 290 millions de personnes sur 915 millions ont accès à l'électricité et le nombre total d'individus sans accès augmente.

En 2008, le gouvernement de la Colombie-Britannique a réalisé un inventaire des émissions de gaz à effet de serre (GES) émisent par chaque municipalité, sur la base de l’année 2007. Suite à cela, le district de Saanich a mis en place un Plan d’action pour le climat qui fixe les objectfifs et défini les actions pour réduire les émissions de GES de 33% dans la communauté et de 50% pour les opérations municipales,d’ici 2020.

Sans un plan d’action, le district de Saanich estime que les émissions atteindront plus de 577 000 tonnes de GES par an d’ici 2020, alors qu’elles étaient de  521 000 tonnes en 2007.

Pour atteindre cet objectif, le district de Saanich a défini quatre domaines d’intervention, qui sont les transports, les bâtiments, les déchets et les énergies alternatives.  A titre d’illustration, ces interventions incluent l’utilisation des transports durables à faible teneur en carbone, la modification des systèmes actuels de gestion des déchets pour éviter les déchets enfouis en les détournant de la décharge, ou bien la promotion des énergies alternatives en réalisant par exemple, des études de faisabilité des systèmes d’eau chaude solaire dans les bâtiments.

Le Plan d’action pour le climat de Saanich a mis l’accent sur la réduction des émissions de GES. La prochaine étape est le développement du Plan d’adaptation au changement climatique, qui vise à s’adapter aux impacts du changement climatique à venir. L’achèvement du plan d’adaptation est prévu pour la fin 2010.

Il existe de nombreuses manières de créer des marchés pour les énergies renouvelables et la voie choisie par chaque pays dépend de son contexte national, de ses objectifs et ressources.

Ce rapport de l’UNDP montre que les décideurs doivent intégrés les risques liés aux investissements dans le marché des énergies renouvelables. Ainsi, tout effort isolé à court terme axé sur un sous-ensemble de risques et reposant sur un sous-ensemble d'instruments est peu susceptible de transformer durablement les marchés des énergies renouvelables.

Ce rapport aide à comprendre les différents risques et à évaluer les incitations financières directes nécessaires pour couvrir les coûts marginaux dérisoires des énergies renouvelables et calibrer un système de paiement basé sur la performance en conséquence.

Cependant, il est important d'être réaliste quant aux difficultés associées à la modélisation des coûts marginaux en l'absence de données empiriques historiques souvent rares et lorsque confrontées à des incertitudes à long terme, telles que celles liées à l'évolution technologique, peuvent entrainer des variations significatives.